Mettre en place une séance coopérative
C’est quoi ? Une fiche outil présentant un plan détaillé afin de mettre en place une séance coopérative
Pourquoi ? Cette fiche vous permet d’offrir une multiplicité de moyen d’apprentissage à vos adhérents afin qu’ils apprennent davantage
J’en fais quoi ? Je m’en inspire pour nourrir ma pratique
Mettre en place le tutorat / parrainage
C’est quoi ? Une fiche outil vous propose une démarche afin de mettre en place un système de tutorat
Pourquoi ? Cette fiche permet de rendre compte l’intérêt du tutorat qui permet l’entraide et la coopération entre les adhérents
J’en fais quoi ? Je m’en inspire pour nourrir ma pratique
Cette stratégie en quelques mots
Vidéo à venir
C’est quoi ? Faire travailler les pratiquants (adhérents) entre eux.
Pour qui ? Les adhérents en retrait des apprentissages et les sous-performants.
Pourquoi ? Pour amener les adhérents à développer leur maitrise du geste technique et favoriser leur sentiment d’appartenance.
Ce que ça signifie pour les encadrants : la coopération entre adhérents est une pratique très riche qui nécessite toutefois une réflexion sur le cadre et les objectifs.
Avantages
Les adhérents apprennent bien plus facilement au contact des plus aguerris : celles et ceux qui expliquent doivent reformuler, expliquer leurs stratégies, répondre aux questions des autres, les gestes techniques plus complexes sont plus accessibles par ces échanges.
Point de vigilance
Comme toute pratique, la coopération peut prendre des formes multiples et inégalement efficaces si le cadre n’est pas clairement posé.
Il semblerait que deux facteurs clés soient essentiels pour que cette pratique fonctionne :
- la définition de buts collectifs : les adhérents pratiquent en vue d’un objectif précis, la maitrise du geste et le plaisir du bon jeu;
- la responsabilité individuelle : la réussite du groupe est tributaire des apprentissages individuels (savoir- faire)
Pour la petite histoire…
La question de la collaboration n’est pas nouvelle, même si elle a pris une ampleur nouvelle ces dernières années en France.
C’est surtout aux États-Unis dans les années 90 que la coopération est théorisée par les frères Johnson sous le nom de « cooperative learning » avec succès, car ils proposaient de multiples activités très concrètes et directement applicables dans différents activités.